ça ne coule pas de source, ça coule du nez...
Parfois ça Sent Atrocement..
- Rheu teu teu... Rheu.. NO?!
- Peuh! Jô, t'as encore chopé la crève...Pff, j'te
jurre, garde des microbes.
Le sportif d'endurance est 8 à 15 fois plus sensible aux pollutions
ponctuelles (concentrées dans le temps et l'espace) qu'une
personne au repos, à cause de l'hyperventilation
pulmonaire qui accompagne l'effort et en outre il respire souvent par la
bouche, débit oblige: la pollution est moins filtré par le
nez.
Lors d'une course d'aviron, le débit pulmonaire
peut atteindre 240 litres par minute, et de toute façon est supérieur
à 150 litres par minutes soit 20 à 35 fois plus qu'au repos:
faire une tête de rivière en zone polluées (exemple
Décines par vent de sud ouest) = 4400 respirations= équivalent
de 10h au repos.
faire un entraînement B1 ou B2 en zone
polluée: exemple, le long de la route entre sud du lac du Bourget
et Aix les bains, par vent d'est= 8 à 10 heures d'exposition.
L'essentiel de la pollution de proximité
que l'on subit intensément et au quotidien en tout lieu que ce soit
est généralement due à la circulation routière.
Malgré des progrès en motorisation,
la pollution augmente et surtout change de lieux.,
- l'augmentation de la circulation,
- le doublement du gabarit moyen des voitures,
- la mode des diesels, dont le principe de fonctionnement
est contraire à la propulsion automobile irrégulière,
- le style de conduite: les moteurs modernes
sont plus généralement mal conduits (sous régime à
cause qu'on entend plus le moteur à bord du véhicule et que
la cinquième ou sixième vitesse est concue pour l'autoroute
et non la route),
tout cela concentre la pollution près
de nos lieux de pratique sportive.
Sur l'eau.
L'aviron est particulièrement exposé
à la pollution de proximité routière, donc par oxydes
d'azotes et monoxyde de carbone (conduite en sous régime). La période
défavorable est la période hivernale et printanière
à cause des inversions de température et du refroidissement
par rayonnement plus marqué: l'air refroidi au sol coule vers le
bas, donc vers l'eau qui offre une surface à l'altitude minimale
et plane, ce qui provoque un étalement sur une grande surface.
En effet, au dessus des canaux passent des ponts
associés à une déclivité pour y monter, les
voitures y carburent alors en situation de sous régime, en
raison de la présence de l'eau, l'air pollué se confine sur
le canal en une couche assez dense ou encore est porté dans le sens
de la rivière par les vents, qui presque toujours soufflent dans
l'axe de la rivière. Chaque pont représente la pollution
équivalente à plusieurs kilomètres de nationale rectiligne,
concentrée sur 300 mètres environ, car en situation de régime
transitoire, une voiture pollue localement 10 à 100 fois plus sur
la phase de montée (sous régime ou régimes transitoires)
et de descente (frein moteur). Ce cas de figure arrive aussi assez souvent
dans le cas particulier de l'aviron est que le plan d'eau est un canal
qui est bordé de grand axes de circulations, qui plus est, souvent,
le tout est confiné en fond de vallée.
Les symptômes: une bonne crève qu'on
attribue alors à un excès d'entraînement et à
un coup de froid. Les oxydes d'azotes rendent plus sensible au moindre
virus qui passe. L'expérience démontre qu'en air sain, on
peut très bien ramer par -5°, avec du vent, du moment que l'on
fournit l'effort qu'il faut pour se maintenir chaud: il suffit simplement
d'avoir la chance de pouvoir choisir des lieux ou des horaires exemptes
de pollution: le matin à l'aube, ou des plans d'eau à l'écart.
en salle.
il est relativement rare que la salle soit isolée
d'un axe routier. souvent en bordure d'un grand axe de circulation, et
à la proximité du plan d'eau, elle se trouve dans un lieux
d'accumulation de la pollution. mis à part les cas ou le vent souffle
du large vers la route, si au "large" il y a de l'espace (cas du lac du
bourget), la pollution routière reste en nappe sur l'eau au voisinage
de la route, et donc la salle, en général se trouvant entre
la route et le plan d'eau n'est pas épargnée.
Il faut alors, si possible programmer les entraînements
sur machine à ramer en dehors des pics de circulation: préférer
entre 12h30 et 13h15, et éviter entre 17h et 19h. La musculation,
à moindre charge cardio vasculaire est préférable.
Un athlète de haut niveau devant cumuler plus d'entraînements cardio vasculaire avec un débit ventilatoire élevé devrait adopter les stratégies de comportement suivantes, pour se préserver des méfaits de la pollution et des inconforts climatiques.
Sports et contexte à éviter
- le vélo: le vélo sur les routes
moyennes oblige, par sa présence à faire ralentir puis réaccélérer
les voitures, le cycliste respire à chaque fois les conséquences
de 200 à 500 mètre de régime transitoire: c'est comme
si chaque voiture polluait comme 10 à 100 pour lui, à chaque
dépassement, et comme le cycliste respire en raison de l'effort
10 fois plus, une voiture correspond, pour lui à 100 à 1000
passages que subirait une personne au repos assise au bord d'une nationale.
éviter donc les routes avec déclivités (les voitures
y dégazent en montant ou en descendant), tortueuses (à chaque
virage les voitures y polluent 10 fois plus en raison des changement de
vitesse et de la conduite en sous régime), routes confinés
(sous couvert de forêt ou sujettes à blocage thermique lors
des passages à flanc de coteau), même avec une circulation
même modérée tant qu'elles sont un lieux favorisant
l'irrégularité-moteur, préférer les grandes
routes entre les pics de circulations, si possible planes, même si
la circulation y est plus importante que sur les routes moyennes, comme
les voitures y circulent sans contrainte de ralentir ou d'accélérer,
l'air y est souvent moins pollué car les moeturs tournent mieux.
dans l'idéal trouver des routes désertes, mais c'est rare.
- le footing, jamais au bord d'une route.
- l'aviron si on longe une voie sur berge quand
le vent va du bord vers le large.
Automne et hiver
Entraînements à forte charge cardiovasculaire,
en salle le matin, à l'aube, avant le pic de circulation et avant
le cumul. si la durée des jours est suffisante en bateau.
2eim entraînement à forte charge
cardiovasculaire entre midi et deux, en bateau ou en salle
Musculation le soir, sans charge cardio à
cause de la circulation, à moins que la salle soit en amont du vent
par rapport à l'axe de circulation.
se coucher tôt (avant 21h30)
Le climat se modifie en France dans le sens "plus
de retours d'est", c'est à dire un climat froid et venté
(dans la région) qui multiplie les cas de pollution par accumulation.
Avec la réduction du gulf stream (déjà -37% depuis
1950) et le réchauffement de l'espagne et du nord afrique, alors
que cette situation se reproduisait rarement plus de 3 fois par hiver,
les dépressions vont de plus en plus sytématiquement passer
dessus la méditéranée et nous envoyer l'air froid
et pollué de la russie. c'est à cause d'un retour d'est que
tchernobyl avait pollué la france... L'affaiblissement du gulf stream
refroidi l'air au dessus de 45° de latitude, ce qui accentue le contraste
avec le nord afrique qui provoque ces dépression. Ce basculement
climatique semble avoir commencé en 2003, et l'année 2004
puis 2005 semblent confirmer, avec les retours d'est sytématiques.
Dans l'avenir nous connaîtrons de plus en plus des grands froids
sans période de redoux, et on fera du patin de vitesse au lieu de
ramer.
Au printemps (jours longs mais inversions
de températures fréquentes),
pesticides et ozone
.
Entraînement à l'aube, pour les
entraînements de types B2 et plus intenses
2eim entrainement le soir alors que le soleil
est sur le point de se coucher, à faible charge moyenne (endurance
de base de type B1 suivi si possible de la musculation), commencer à
surveiller l'ozonne. Ce gaz, contrairement à la pollution de proximité
est suivi et des estimations officielles sont possibles: ne pas s'entraîner
au delà de 60 micro grammes par mètres cubes. (car en endurance
respirer 5 fois plus vite un air à 60 microgrammes par mètre
cubes correspond déjà à subir plus 300ug, un seuil
déjà néfaste)
entre midi et deux heure de Paris, (en fait entre
10h et 12h heure locale), éviter les efforts à forte charge
dans les cas suivants:
soleil avec présence d'agriculture intensive:
les métabolites des pesticides sont intenséments émis
quand le soleil tape sur les champs mais que l'inversion de température
confine ses gaz près du sol et de l'eau, c'est à dire en
fin de matinée sur la période fin avril à mi juin.
Ces pesticides voyagent loin et même les grandes villes et les montagnes
sont concernés, comme pour l'ozone, le contexte d'émission
des gaz est un peu le même que pour l'ozone, mais il n'y a pas de
suivi.
le problème de l'ozone et des pesticides
disparâitra probablement avec les moteurs diesels et l'agriculture
permanente, qui perdurent tant que le pétrole est bon marché.
On pourra alors mieux respirer la journée
été: ozone et canicule.
Si possible, dans le cadre des vacances, se planifier
des entraînements quasi noctures: l'air est moins pollué mais
aussi il n'y a pas la canicule., éviter carrément de sortir
entre 12h solaire et 18h, si possible faire une partie "de sa nuit", ce
qui permet alors de se lever pour être près à l'aube,
quand il fait juste assez jour pour embarquer. Le climat se modifie dans
le sens d'une augmentation non pas seulement de la température (37
à 42° fréquentes là où 33 était
le maximum avant l'an 2000), mais de la température de point de
rosée: il n'est plus rare de la voir dépasser 22 à
24°, ce qui veut dire que même mouillé, la peau ne peut
pas se refroidir en dessous de 24°, température de condensation/évaporation
de l'eau. vers 1990, les records se situaient dans les 18° et la moyenne
était 14°, ce qui signifie qu'à température égale,
lors d'un effort c'est comme si il faisait 10° de moins. C'est la température
de point de rosée que l'on sent à l'effort puisque l'on transpire.
Ce point de rosé élevé empêche l'organisme d'évacuer
sa chaleur lors des entraînements prolongés en endurance.
C'est en fin de nuit et à l'aube que les conditions sont les meilleurs
pour continuer son entraînement. En plus, si on adopte le bateau,
on n'est pas gêné par le tourisme nautique, en vélo
on n'est pas gêné par les voitures...
remarque sur les moteurs modernes.
Les émissions ont changé de nature: les particules très
fines qu'aucun filtre ne peut arrêter (même celui qui est vanté
actuellement en 2006), de la taille 0.1 à 1 micron, entrent en synergie
avec les pollens, les virus, et mêmes, passent directement dans le
sang, elles échappent aux mesures qui pour des raisons de longueur
d'onde des lasers, vont de 2.5 à 10 microns, d'où une absence
complète d'information. Or, les progrès en matière
de moteurs aboutissent pour le moment a des particules de plus en plus
fines, non mesurée donc, officiellement ils polluent moins, alors
qu'en réalité ils polluent seulement d'une façon différente.
Les fumées noires, visibles et scandaleuses à la vue, mais
guère plus toxique que la fumée d'un feu sont devenue invisibles:
à la place sont des produits dérivés des solvants
utilisés afin de les faire disparaître, mais en faisant d'autres
polluants secondaires d'une toxicité imprévisible, et des
particules plus fines, une pollution moins importante en quantité,
mais plus toxique, et dont la toxicité se révèle non
pas dans l'immédiat, mais dans des maladies à long terme.
Stratégies pour éviter la pollution.
1 être apte à la détecter.
Avoir une hygiène de vie irréprochable et au possible
dépouvue d'aliments drogués aux pesticides (manger bio et
sans arômes de syntèse), éviter aussi les parfums,
les désodorants, les après rasages, et le shampoing (préférer
le savon à l'huile), tous ces produits émoussent l'odorat.
Le tout accompagné d'une pratique sportive quotidienne.
Par la réunion de ces conditions, vous obtenez un sens de l'odorat
non défaillant (très rare en occident), 10 à 100 fois
plus sensible.
2 avoir des connaissances pour l'éviter.
Vous pourrez ainsi anticiper les pics de pollution locaux
Ce savoir est assez intuitif, et repose sur l'observation des nuages
bas, du vent, la comparaison au comportement habituel lors des contextes
ressemblant, il repose sur un vécu ce qui suppose avoir son pollumètre
nasal en état de marche (hygiène de vie). On découvre
alors des lois propres à sa région
détails
Les contextes à éviter pour le sportif.
D'une façon générale:
- lieux de pratique recevant courant d'air provenant d'une route et
surtout d'une portion de route présentant virages, décilivité
ou carrefour. Routes où les voitures sont conduites en sous régime.
Souvent des routes départementale qui sont limité en vitesse
ou tortueuses.
l'air coule vers le bas quand le sol est plus froid que l'air ambiant,
et l'air pollué, alors très concentré se cumule sur
fond de plaine, fond de vallée ou plan d'eau selon le phénomène
dit d'accumulation.:
- quand il y a refroidissement du sol par rayonnement, c'est à
dire le soir quand la lumière décline, parfois toute la journée
d'hiver en cas de redoux.
Contextes particuliers, anticyclone en hiver avec couche d'inversion
de température: c'est alors comme si l'atmosphère n'avait
plus que 30 à 100 mètre d'épaisseur, la pollution
put s'y accumuler plusieurs jours, voir semaines durant, ce qui explique
peut être les très fort taux en oxydes d'azotes relevés
en sud est france (phénomène d'air froid bloqué entre
les montagnes). réduire la fréquence cardiaque et s'interdire
la pratique après 12h
Le cycliste, il doit éviter un contexte de pratique tel qu'il se trouve dépassé à répétition, alors qu'il est en cours d'effort, par une voiture diesel qui après avoir freiné réaccélère et pollue devant lui pendant 200 à 500m énormément plus (car un diesel en régime transitoire fait 10 à 50 fois plus de pollution, et respiré 8 à 10 fois plus fort= des centaines de fois plus!):d'où un paradoxe: parfois il vaut mieux carrément aller sur une nationale que sur une petite route, une petite route entraînant les régimes transitoires équivaut souvent à la nationale bien rectiligne, en pollution respirée, alors qu'elle ne présente pourtant que 20 à 100 fois moins de passages. Or, il n'est pas rare que la circulation sur petite route soit près du tiers de celle de la nationale d'un même secteur, quand ces petites routes désservent des lotissements peuplés de gens travaillant loin de chez eux: il est donc préférable de rouler alors sur la grande route!
Le coureur à pieds est comme un cycliste perpétuellement en côte, il est vers 8 fois plus de ventilation continuellement, c'est donc pire encore que le cycliste si il pratique sur route: mais il trouvera moins difficilement des sentiers inacessibles aux véhicules motorisés. En cas de pratique de l'effort aérobie, donc de l'hyperventilation pulmonaire, sur route, il est trop tard pour couper l'hyperventilation quand une voiture passe (elle perdure 1 minute après l'effort au moins), prévoir alors des routes avec possibilité de s'esquiver rapidement sur le coté (échappatoires tels que des prés), les routes sous bois ou bordées de barbelés, sans échappatoire latéral sont de véritables pièges, il peut en tout moment y survenir un gros diesel conduit en sous régime. En ce cas, pratiquer la marche seulement et tenir une apnée de 30 secondes si une voiture passe en puant violemment. Si il y a un vent latéral, se tenir du coté "au vent" de la route. Se méfier tout particulièrement d'une route chaude à flanc de coteau, la convection de l'air y crée un vortex qui piège l'air de la route: une route à flanc de coteau, au soleil un jour sans vent est quasiment comme un tunnel routier, avec les phénomènes photochimiques en plus!
cyclistes et coureurs marcheur sur route. Attention les oreilles
Notez bien. Le bruit de roulement est avec les voitures modernes, en
2005 près de 10 fois plus fort qu'en 1990 (largeur des pneus, diamètre
plus petit, poids de la voiture, plus de couple moteur et "taille
basse") expliquent cette augmentation), il dépasse maintenant le
seuil dangereux pour l'audition à partir de 80km/h lors de passages
à 1 mètre. Se mettre des protections auditives en cas de
pratique régulière évitera les accouphènes
et une perte d'audition dans les aigus quelques années plus tard.
Personne à ma connaisance prend cette précaution, qu'on devrait
prendre aussi en étant jeune vis à vis de la musique, et
du coup, 9 personnes sur 10 n'entendent plus les bruits fabuleux de la
nature, comme par exemple le crépitement pareil à la pluie
fine qui semble provenir de l'ombre qu'on projette au sol et qui est en
fait celui des areignées-loups qui en se sauvant, courrent dans
les feuilles mortes... L'inaptitude à entendre ce genre de bruit
provient bien de l'exposition au nuisance: dans les pays non motorisés
et encore sans musique, tous les gens, même agés percoivent
ces bruits, et un serpent ne passe pas dans l'herbe incognito, donc on
ne marche pas dessus sans faire exprès.
Le rameur en aviron
Il faut signaler que l'aviron est aussi intense sur le plan respiratoire
que la course à pieds.
Il est exposé à des contextes aggravant de pollution
par accumulation, quand une route bordant le plan d'eau injecte des polluants
dans une couche d'air de faible épaisseur, bloquée par la
température de l'eau. De plus, sur l'eau, la lumière plus
forte génère des réactions chimiques par beau temps.
Ce contexte est presque systématique les jours sans vent par soleil
radieux: s'éloigner donc des parties bordées par la route,
ou choisir le matin de bonne heure, en été, éviter
la pratique aussi lors des périodes de redoux en hiver, du moins
près de la route.
Quand il ya du vent, veiller à ne pas faire des sprints longs
sous le vent par rapport à un pont, ou à un système
"pont plus carrefours", ou encore dans l'axe d'une route grimpant une colline,
quand ces routes sont des grosses routes, ce qui est fréquent puisque
les grands axes suivent les fleuves. Ces ponts font une très grosse
émission de polluant, comme plusieurs kilomètres de route
pour 200m de pont, car en général ils présentent une
montée que les automobilistes abordent sans changer de vitesse,
ou même, en changeant de vitesse, en changeant de couple.
Masques. Il faut des masques à charbon actifs pour les gazs et capables de stopper des particules de la taille des virus pour les particules. Ce genre de masque est INCOMPATIBLE avec un débit respiratoire de l'ordre de 8 à 10 fois celui d'une personne au repos. Le sportif n'a donc guère d'autre recours que la fuite les zones polluées.
Pour le vélo utilitaire contraint de rouler en zone polluée,
ne pas "s'entraîner": se maintenir en dessous de 60% de la VO2max,
et au moins utiliser un filtre à poussière. Avoir un régime
alimentaire très riche en fer pour éviter une ventilation
importante pour un même transport d'oxygène: il y a tout intérêt
à jamais avoir besoin d'une fréquence cardiaque élevée..
c'est évidément incompatible avec le travail de l'endurance
qui consiste au contraire à maintenir la fréquence cardiaque
entre 75 et 85% du maximum, et en continu!