Prenons nous la tête
L'auteur a eu de gros problèmes pour
s'entraîner l'hiver 2002 même en campagne loin
des routes à cause de la pollution (rhino conjonctivites et
essouflements).
En 2003 j'ai pu constater que les gens qui avaient des problèmes
de yeux qui piquent affirment avoir ces problèmes surtout à
partir de 1998, 1998 est la mise en circulation des pots catalytiques diesel
et des moteurs HDI. La pollution de ce type de moteurs serait moindre
si il existait un réseau de distribution de gazoil conçu
pour ces moteurs complètement déshumidifié, ce
qui n'est pas le cas, de ce fait des micro particules de taille plus
petite, donc plus toxiques sont émises. Le responsable du controle
antipollution d'artemare (centre de controle technique) m'a fait la remarque
que les garagistes mettent des additifs dans les voitures diesel de nouveau
modèles qu'ils révisent, cet additif pollue en étant
brulé avec le gazoil et est très toxique, mais cependant
aucune procédure n'est faite pour mesurer cette toxicité
qui rend ceux ci plus allergène que n'importe quel vieux diesel
bien fumant, cet additif n'est rien d'autre qu'un solvant destiné
à sauver le rendement d'un moteur hdi déréglé
par la présence d'eau dans le gazoil.
depuis cette période (celle des HDI) j'évite donc le vélo
utilisé en entraînement (remplacé par ceci)
et les trajets près des routes. ça ne fait aucun de doute:
tous les problèmes ont disparu.
L'hiver 2003 la concentration de dioxine a été moins
élevée. l'hiver 2002 en effet a été l'hiver
de la fermeture des décharge et des feux sauvages qui sont désormais
interdits à moins de 50 des maisons! cela a une conséquence.
en zone pavillonaire les habitants peuvent même plus faire bruler
leur brousailles... mais en 2002 c'était pas vraiment que des brousailles
qui brûlaient partout!
L'idée est alors d'accumuler ici un dossier pour regrouper
les documents parlants de la pollution et son impact sur le sportif (qui
du fait d'un effort physique est plus exposé).
Après une rapide enquête, il semble bien que le phénomène
est général pour d'autres sportifs, les cyclos en particuliers:
sur 10 personnes intérrogés, un dixième est limité
par ce phénomène, un tiers constate des troubles respiratoires
qu'ils mettent sur le compte du froid, de maladies, de rhume ou autre raisons
sans penser à la pollution, les docteurs généralistes
confirment, de partout on constate un plus grand nombre de troubles respiratoires
et d'asthme...
Il faut en effet avoir l'occasion de constater la concordance entre
problèmes respiratoires et oculaires, voir cardio vasculaires et
l'exposition. Si l'auteur a pu le constater, c'est parce que vivant à
la campagne il lui est possible de constater la disparition des troubles
une fois isolé chez lui plus de 3 jours, de même que chez
d'autres membres de la famille.
si la pollution diminue en quantité, offiçiellement, elle n'en est pas apparemment pas moins toxique. En effet, les polluants ont changé de nature chimique et sont moins mesurables et sortent souvent des contextes des mesures antipolution. Il semble que le problème principal est du aux microparticules diesel de taille inférieure à 3 micromètres, qui ne sont pas filtrées par les nouveaux pôts (qui réduisent seulement les fumées noires, particules plus grosses), ces micro particules potentialiseraient fortement toute autre forme de pollution, en carbone captent sur le surface les autres polluants ou particules actives (amines, protéïnes) et permettent ainsi leur fixation dans les poumons. Le diesel par exemple peut sensibiliser au pollen: on accuse le pollen des fleurs de faire des allergies... L'intrusion répétée de ces particules au fond des alvéoles pulmonaires serait même cancérigène, comme l'amiante. Cet hiver 2002 a été marqué par une forte pollution dioxine car avec l'interdiction des décharges, les gens brûlent leur ordures...
Les nouveaux moteurs turbo diesel se généralisent depuis
cet automne et apparaissent sur "les petites" voitures, ils sont une véritables
calamité, le pôt catalytique ne peut gérer en effet
la débauche de fumées qui sont émises à chaque
accélération. La pollution est moins mal gérée
avec les voitures à moteur diesel classique, il n'y a pas vraiment
de micro particule mais des suies, qui paradoxalement sont mieux éliméninées
par l'organisme.
Les moteurs hdi sont en théorie très propres, mais hélas,
c'est vrai qu'au début, il traîne toujours des défauts
dans le carburant, en particulier de l'eau, en quelque mois ces injecteurs
trop fragiles sont détraqués à peine le rodage terminé
et polluent admirablemement bien, durant les 150000 km ou plus que la voiture
fait ensuite...
Avec les voitures à essence, si le moteur n'est pas trop puissant
et n'a pas de turbo, pratiquement aucun gaz toxique n'est émis.
On dit que le diesel émet moins de C02 que l'essence. Cela est faux
si on exige moins d'un moteur à essence. En effet, si on conduit
calmement avec un moteur essence on peut descendre la consommation et ce
bien plus façilement qu'avec un moteur diesel qui "consomme plus
pour lui" (immaginez qu'un moteur diesel a un métabolisme de base
plus important (sans doute du au bsoin de la compression des gaz avant
combustion). Comme un moteur essence est plus nerveux qu'un diesel, la
conduite plus nerveuse qui en découle spontanément demande
d'office plus d'énergie, et on consomme plus (1 litre d'essence
donne 7900 kcal, donc à peu près 1.8 kw.h mécanique
compte tenu de 20% de rendement), et ce d'autant plus que généralement
le concepteur automobile place dans le modèle essence un moteur
plus puissant que l'équivalent diesel!!! comment alors comparer
les 2?
mais si l'on se calme on peut descendre 3.5l au 100 en roulant avec
une R5 essence, alors avec une express diesel la consommation s'élève
à 5l même en conduisant économe. La twingo essence,
en roulant à l'économie descend façilement en dessous
des 5l, elle est pourtant plus puissante que l'express diesel, et déjà
très lourde (800Kg!). Les voitures modernes lourdent en valent
2 de la décennie précédente en effet une voiture de
1.7 tonnes c'est effectivement comme 2 voitures de 700Kg qui se déplacent:
les lois de la physique ne peuvent être contournées: déplacer
un véhicule 2 fois plus lourd demande de dépenser le double
d'énergie!!
L'auteur estime que le rendement pratique des
moteurs thermiques est quasimment comparable à ce que permet la
théorie, il n'y a presque plus rien à gagner (selon les lois
de la thermodynamique): économiser l'énergie signifie donc
désormais.
- alléger la voiture (c'est à dire
transporter moins)
- faire en sorte de rouler à une vitesse
modeste mais régulière (le meilleur rendement est obtenu
quand la vitesse instantannée s'écarte que rarement de la
vitesse moyenne, celle-ci étant aux alentours de 75km/h)
- éviter les pertes d'énergie potentielle
et cinétique: autrement dit esperer récupérer l'énergie
qui serait perdue en freinage, en vibration de roulement, et lors des descente.
Actuellement, par rapport à il y a 10
ans, la puissance moyenne mise en jeu sur route tortueuse a été
multipliée par 4 environ, du fait de l'intensité des reprises
entre chaque virage, du quasi doublement de la masse des bagnoles et aussi
de leur vitesse, et même même si le moteur a 30% de plus de
rendement, et pollue moins pour une consommation donnée, on ne peut
que constater que le rapport puissance sur poids des voitures ayant
considérablement augmenté, ce gain d'économie est
annulé, et ce d'autant plus que le moteur a tendance, du fait d'axcès
de confort à être utilisé en dehors de ces plages de
fonctionnement normal, en particulier le sous régime (maintenant
c'est possible, le moteur est sufisement puissant pour ne pas caler!):
il s'ensuit que l'automobiliste qui remplirait son carnet de bord constaterait
une consommation de l'ordre de 12 à 15 litres aux 100 dans la région
au lieu des 6-8 litres au cents des voitures de la décennie précédente!
Autre phénomène de taille: le passage aux 35h a considérablement
augmenté la circulation: ici, en campagne,
comme on ne fait rien sans voiture, comme on a plus de temps de faire
des loisirs on roule plus et ce plus
souvent!!!
L'exès de confort est une cause importante de pollution induite
En effet, un conducteur isolé des sensations de l'extérieur
et n'ayant qu'une perception réduite de sa vitesse ne sera satisfait
que s'il conduit vite et nerveusement, ce qui induit, entre autre un
comportement dangereux qui est une nuisance pour la pratique du cyclisme
Le phénomène est aggravé par une négligence
nationale en ce qui concerne l'entretien des voitures (en allemagne la
différence... se sent!!!)
En outre on fait rouler des camions pour un rien (par exemple un 38
tonnes peut très bien faire 60 km pour aller livrer... une cartouche
de stockage informatique pésant 20 grammes!!!) autre exemple: il
coute moins cher de faire détaxer des produits italiens en belgique,
et de les livrer ensuite en italie (la france traversée aller retour!
les camions feront 1500km en défonçant les routes et en puant),
dans le genre, aller faire éplucher des pattates italienne en belgique,
les faire emballer en espagne avant de les vendre en France (à peine
carricaturé!)
Globalement, vu l'augmentation des problèmes respiratoires et
oculaires, il semble bien que globalement, la pollution en dehors des villes
augmente... bel et bien.
enfin pour noircir le tableau, l'été sur le lac séjournent
des grosses nappes de vapeurs d'essences émises par des bateaux
à moteur consommant dans les 30 à 50 litres d'essence à
l'heure... un phénomène en pleine expansion encouragé
par la politique touristique locale qui s'empresse d'agrandir les ports
pour que il y'en rentre encore plus dans la région!!!
en 2002 ça s'arrange: les nouveaux hors bords ont un moteur
à 4 temps et ne consomment (selons leurs possesseurs) plus qu'à
peu près 25 litres à l'heure (pour aller à 35-50km/h),
ainsi ils polluent seulement comme 8 voitures, à distance parcourue
égale...
fuir les routes, pas toujours suffisant:
monter en montagne...
Plus dur à éviter: la polution par inversion de température:
c'est ce qui c'est passé du 3 janvier au 12 janvier 2002, un vent
d'est amenait la merde sur le lac dans les narines des avironeurs, le 28janvier
2002 (pollution au NO2), le 04 février 2002 pollution
à l'ozone, et ainsi de suite... il fallait monter pour respirer
un air potable au dessus de 750m d'altitude (même dans la région
d'Aix les bains, pollué aussi par en plus la dioxine (fumées
de Chambéry, si il n'y avait que Chambéry).
Pollution mémorable également le 17 janvier 2002 (aix
les bains): effort physique modéré néfaste.
art tchroum!
inquiétude de l'auteur:
Aix-les-bains n'est pas une ville énorme, mais quand il y a
du vent du nord d'est, la pollution d'Annecy et de Genève vient
en renfort, quand c'est le vent du sud est ou sud, c'est la pollution de
Grenoble et chambéry. L'air d'Aix les bains n'est pas fameux!
Une honte pour une station thermale... c'est tout plein de voitures
d'une tonne cinq avec moteur de 120CV et qui roulent en sous régime.
Les problèmes de pollution se sont révélés
si préoccupant qu'ils ont même été un frein
à l'entraînement: chaque fois que l'entraînement se
fait près du bord (contre la nationale, au millieu des bouées
casse-bateaux), l'auteur revenait avec une rhino-conjonctivite sévère,
des problèmes respiratoires et oculaires et un gros mal de but...
même chose avec le vélo! pour attrapper mal, aller à
gresy sur aix par derrierre la chambotte suffisait... (avec du recul
il y a eu à répétition des alertes à l'ozone,
donc pas éttonant)
après avoir accusé le rhume, un diagnostique par le medecin
généraliste et la concidence systématique entre rhinoconjonctivite
et exposition à la pollution routière, et guérison
rapide en air pur a confirmé que il y avait intoxication à
chaque entraînements, aggravée par le fait de faire des entrainements
long et avec un régime aérobie demandant un énorme
échange pulmonaire..
Un rémède: bouffer du fer, boire de l'eau avec des
clous rouillés, manger du foie... C'est ce qui a le mieux réussi.
lu à http://www.notre-planete.info/dieselsante3.php
que les particules diesel en plus d'être toxiques elle mêmes
sont idéales pour transporter la merdasse au plus profond des poumons
"
Les particules diesel sont capables d'atteindre le parenchyme
pulmonaire profond (étage alvéolaire). La " déposition
" de ces
particules s'effectue majoritairement au niveau trachéo-bronchique
et alvéolaire. La déposition au niveau du rhinopharynx est
plus
faible. Pour des particules de taille supérieure (> 10 µm),
une
majorité des éléments reste piégée dans
les voies respiratoires
hautes. Ainsi, les particules diesel constituent un véhicule
aérodynamique qui délivre au plus profond de l'arbre respiratoire
les composés adsorbés à leur surface." (TISSOT, 1999).
Et sur ce point, "une étude de 1999 (B. RUDELL, A. BLOMBERG, et
al.) comparant certains effets biologiques d'émanations diesel
filtrées (débarrassées de leur phase particulaire)
ou non, confirme
que les effets nocifs observés sont essentiellement liés
à la phase
particulaire (par rapport à la phase gazeuse) de ces émissions.
Les
composés adsorbés sur les particules semblent être
responsables
de la plus grande part des effets observés." (TISSOT, 1999)
les rameurs en aviron eux au moins ne font que sentir la transpiration...
(par contre ceux qui mangent des poulets de batterie plein de mauvaise
graisse trop grillée, et qui macèrent dans leur combine en
syntétique mal rinçée sentent très fort la
sueur aigre... P'oûèrk!)
http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2000/mag0728/sa_2049_dieselsante.htm
à propos des risque du à la pollution que l'on respire
quand l'on rame le long de la nationale, berk!
http://www.notre-planete.info/phpBB/index.php
(pour en parler)
http://www.notre-planete.info/phpBB/newtopic.php?forum=1&titre=Dossier
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