CE QUE J'INGURGITE
Diététique:
passage végétarisme alimentation "occidentale" (enfin
presque): ce que ça a changé
J'ai appris au monitorat que l'énergie provenant de ce que je dois ingurgiter provient à 55% de glucides 30% lipides 15% protéïnes.
je pense que les poucentages sont en % d'énergie apporté par glucides lipides protides et non en poid!
je revu mon alimentation à partir du 08/02/2002tout en restant
dans l'acceptable finançier: en métropole je ne retrouve
plus qu'une maigre partie de ce que j'avait l'habitude
de manger (végétarisme) et commençait à accumuler
des carences: sur l'eau ou en ergo je ne parvenait pas à mes objectifs,
c'était anormal vu la constante de mes entraînements.
je mange donc désormais de temps en temps de la viande en plus
des lentilles avec des "grains" (riz, orge, blé ou seigle cuit avec
dans le tadjïn ou du rougail), poisson (dans le "thieb") et des oeufs
(gobés), et le reste comme "tout" le monde ici, mais en plus grande
quantité (5000 à 10000 Kcal/jours les jours où je
m'entraîne).
Ça a tout changé:
Des différences flagrantes se font sentir une semaine plus tard,
en particulier dans la capacité cardiovasculaire: le coeur peut
suivre un effort bien plus façilement, la zone d'inconfort au lieu
de commencer à 164 ppm environ, commence à 180, en plus la
FCM est facilement atteinte. Ceci contrabalance la perte d'entraînement
du à la baisse d'activité l'hiver, et facilitera sans doute
un entraînement plus intensif.
Pouvoir augmenter ainsi la fréquence cardiaque permet de rester
en aérobie pour des efforts intenses
Sur le skiff avant le changement de régime alimentaire il m'était
diffiçille de rester au dessus de 180, il fallait toute une préparation,
désormais je peut rester quelques minutes au dessus de 180, sans
même m'en rendre compte, et j'atteint sans sensation d'effort violents
la FCM (191). maintenir le coeur au dessus de 180 correspondait à
un sprint court (seulement 500m), ce qui a changé, c'est que le
coeur tient la cadence, avant la fréquence retombait à 175
même en étant à fond et je faisait, à effort
égal de l'anaérobie: je peut donc désormais faire
des sprints longs (un 2000) alors qu'avant je devais enviseager de faire
un 2000 que sur de l'endurance, comme on ferait une tête de rivière...
mais un mois après je subis des désordres
du à cette alimentation commençée trop brutalement
À L'ENTRAÎNEMENT.
L'effort est devenu paradoxalement plus dur à gérer:
j'ai momentanément totalement perdu certains repères et dois
surveiller la montre cardio pour aller loin, en effet avec le coeur à
180 on ne fait pas 100km!
L'expérience de ma première tendinite
m'invite à me demander si je dois pas me limiter pour ménager
la carosserie, problème inconnu avant même avec les bateaux
bizarres de chez nos voisins de l'APP (Aviron pour perdre,
heuh?! Aviron plaisir Passion, les pauvres on se demnande comment ils ont
des bateaux qui flottent encore vu les généreuses subventions
AINdiennes PAN? une bâche c'est pas gentils... quelques années
plus tard on ne peut plus bien dire ça de l'APP, même sans
subventions, il y a un skiff véga) car j'était "bridé"
par ma relative faiblesse musculaire "d'herbivore"
En vélo la vitesse moyenne lors de mes trajets est passée
de 20 à 25 km/h (parcours accidentés avec 700m de dénivelé
tous les 50km) je restait spontanément à 150ppm (entraînement
équivalent B1) car c'était là la zone de confort,
si je dépassais j'avais la sensation de forçer et je m'en
rendais compte, désormais, si j'oublie de regarder le cardio, je
me retrouve façilement le coeur à 175 ce qui n'est plus tout
a fait la fréquence à respecter pour un travail B1 devant
durer des heures (ou un trajet de 100km).
Je constate que en vélo je suis plus fatigué qu'avant
pour une durée donnée: c'est normal, en fait durant 2 heures
je tend à faire du B3-B4 au lieu de B1: rester avec le coeur à
165 et taper au dessus de 180 à chaque côte, au lieu de 140-150
avec maxi à 165 comme avant le changement de régime.
Je pense que l'alimentation végétarienne, en faisant
ressentir des limites d'efforts à des fréquence cardiaque
basses jouait comme un limiteur, et favorisait ainsi l'endurance (du genre
300km en vélo). pour faire de telles distances, désormais,
il faut gérer, en effet, si j'évite de monter le coeur au
dessus de 140, je ne fatigue pas au bout de 5 heures.
Mon alimentation végétarienne auparavant était
habituelle basée sur l'associations de cerréales, légumineuses,
et divers aliments de manière à avoir toutes les acides aminés
néccessaires pour faire mes protéïnes à moi.
Ce régime convenait car la viande était remplacée
par l'accumulation de produits végétaux contenant ensembles
tous les acides aminés nécessaires. Cependant, il semble
que comme cela s'observe dans tous les peuples végétariens,
l'endurance soit favorisée au dépens de la puissance: les
efforts peuvent être prolongés très longtemps, mais
en y allant "molo" c'est pas tout à fait ce que l'on veut en compétition...
je constate des troubles début mars
2002
une diminution de l'odorat causée par un épaissisement
des mucosité nasales
une fragilité aux tendinites: à ce point ça me
n'était jamais arrivé
des "hauts et des bas" sur le plan physque me gênant dans la
vie quotidienne
je dois revoir mon régime: le kiné dit que je ne supporte
pas les toxines contenues dans la viande.
en outre, la première tendinite de ma vie est peut être
due à une augmentation des toxines dues aux protéïnes
animales, peut être aussi que ayant plus de force, je demande plus
à la carosserie
Avril 2002. la proportion de viande est devenue rare, peut être
200g par semaine.
Mai 2002 suite à la décision de ne pas faire cette saison
(car trop de retard cause tendinite) j'ai repris une alimentation végétarienne.
Je remarque bien le retour de l'odorat, j'ai refait l'expérience
de manger carné 2 jours de suite et ai pu vérifier à
nouveau la dégradation de l'odorat pour 3 à 4 jours lié
à la viande. En outre je constate que en incluant des périodes
de repos muculaire (en fait imposés lors des concerts et travaux
sur enregistrements) que je peux ensuite travailler longtemps à
des fréquences cardiaques au dessus de 170, voir 10mn au dessus
de 180. Cela est donc possible sans viande.
Est t'il possible de rester végétarien et sportif en
métropole?
J'ai eu d'abord des problèmes pour manger équilibré:
j'ait été malade en tentant de manger ce que je croyais comestible:
Problèmes nerveux (saccharose) en mangeant par exemple 1Kg de bananes
même "bio" (mais ceuillies vertes!) alors que sur l'île 3.5Kg
par jour était ma ration, même chose avec seulement 300g de
cacahouettes pourtant crues trouvés dans des magasins orientaux
alors que sur l'île, ma ration quotidienne oscillait entre 300g et
1Kg, mais ici elles sont irradiées (impossibillité de les
faire germer) de ce fait elles rançissent, je ne comprend pas d'ailleurs
pourquoi irradier: les cacahouettes de l'Ilet à corde étaient
bonnes après 2 ans de stockage et une partie, ressemée a
même donné une récolte d'un rapport 12 sur 1 preuve
que c'était un produit vivant!
les aliments industrialisés se sont avérés eux,
carrément toxiques, en étant stérilisés (lait),
chauffés (oléagineux), grillés(cacao,cacahouettes),
sucrés
et raffinés, le choix en aliment simples (graines en tout genre)
est limité, à moins d'aller dans les magasins orientaux,
c'est cher, beaucoup de choses crues normallement très saines s'avèrent
avoir été irradiées au cobalt (les oléagineux
crus) et alors indigestes: impossible d'en manger au point de se nourrir
avec ces produits ne sont vendus que rarement sous leur forme assimilable)
De comparer mes performances aux autres m'a révélé
que je ne pouvais pas faire de plus progrès sur le plan musculaire,
l'entraînement ne faisait que de baisser la fréquence cardiaque,
mais la limite était fixée par les muscles, qui ne pouvait
pas se développer plus, même avec de la musculation.
Le cas d'une coureuse de demi fond de 22 ans qui a fait l'expérience
de comparer à entraînement identique les performances avec
régime végétarien ou non semble confirmer: un végétarien
sans cacahouettes (riches en protéïnes, lipides) et bânânes
(elles contiennent au lieu du saccharose un sucre très lent idéal
pour les diabétiques) devient... lanterne rouge! (les bananes de
métropoles sont chargées par contre... en saccharose!!!)
en effet elles ont été ceuillies vertes puis muries à
l'acétylènne, si on réussi à les digérer,
on peut faire de l'hypoglécymie réactionelle)
Pour la viande grande méfiance: je ne sais que trop comment elle
est obtenue dans l'industrie (les farines, vous connaissez?!) elle sera
achetée en dehors du commerce ordinaire, et en choississant le plus
bas possible dans la chaine alimentaire (pas de porc)... Il m'est très
diffiçille psychologiquement d'accepter de manger la viande, mais
après tout si même le dalaï lama, venu en europe a du
s'y mettre, c'est qu'il faut vraiment accepter pour sauver sa santé...
Mon alimentation, avant mon arrivée sur le continent équilibrée,
basée sur
-protéïnes et lipides: les cacahouettes crues: au moins
500g/jour 15 à 25Kg/mois (25.3% protéïnes 49% lipides)
J'en ramenais des gonis entiers et j'écoulais à moi seul
la moitiée des "pistaches" vendues à Cilaos!
le reste (embériques, lentilles, maïs devait complèter)
les cacahouettes dites "pistaches" peuvent aussi être cuites
à l'eau, avec du riz, des lentilles, et des petits pois sec (les
pois rond): ce plat contient tous les acides aminés.
-Gluçides: j'était un véritable compacteur
de bananes: je m'en envoyais dans le gosier 2 à 5Kg/jour,
en moyenne 2 régimes par semaine entre 70Kg et 100kg par mois! plus
que mon poid en bananes!!!)
le reste complètant ceci, était les brèdes
(fibres), et les grains (15-30% pré-protéïnes + le reste
glucides) embériques (soja vert); lentilles, pois de madagascar,
pois rond, haricots secs, maïs, et riz, et du lait bourru produit
à Bras sec, sans compter les goyaves (sauvages), les ananas, les
mangues"carrotte", "josé" ou "pétrole" très différentes,
les letchis, les longanis, les pamplemousses, les oranges, fruits de la
passion (sauvages), les avocats, la noix de badamier, les noix de coco,
le galabert (le lantana, ça se mange!) les poc poc (lanternes chinoises:
vitamine C), les graines de fuschia (une fleur décorative qui a
envahie les haut, pouvait constituer des rations de près d'un kilo
certains jours), le manioc, dont certaines variétées pouvaient
êtres mangées crues, des racines de songe, et en tisanne la
citronelle, le ti beaume, le géranium rosa, le zamal... (heu?! pour
dormir) etc...
(pour les nons végétarien une source de protéïne
existe dans les hauts, les "andettes" (des gros asticots dans les arbres
pourris, d'autres consommaient également le tangue (une bête
malgache ressembant aux hérissons)
Dans les bas l'eau est toxique (trop de chlore, pareil qu'ici), je
ne buvais pas: les fruits étaient assez juteux...
Dans les hauts, je ne buvais que l'eau des ravines, au dessus de 1200m.
Une alimentation bon marché, adaptée... impossible
en métropole.
J'était végétarien à la Réunion,
mais j'avais un régime équilibré pour 400F/mois.
Il est possible de retrouver une telle alimentation en métropole,
chez les instinsctos, cela couteraît 4000F/mois!!!
Je faisais en moyenne 5 à 8h de marche par jour, et allait dans
les bas une à 2 fois par semaine: soit entre 60 et 120km de vélo
avec au minimum 1700m de dénivelé (route de Cilaos) avec
pour ce dénivelé le vélo pésant... 35Kg: sacoches
chargées à mort d'ananas, de bananes ou de letchis!!!)
Sans le passage des hélicos en basse altitude, au rythme de
30/h qui vous réveillent à 5h30 du matin même le 25
décembre ça aurait été la belle vie...
le sucre.
Le sucre industriel semble me poser des problèmes de glycémie,
des problèmes nerveux, précipite des carrences (en chrome
par exemple, le chrome étant nécessaire pour que l'insuline
puisse réguler la... glycémie). c'est toxique
Je m'interdit les aliments contenant, du saccharose même en faible
proportions: donc pas de truc du genre boissons sucrés, barres de
céeralles, gateaux, biscuits... l'expérience me prouve que
si après avoir ingurgité ce genre d'aliment je ne vais pas
me défonçer dans les 20mn qui suivent je perd mes moyens
physiques ainsi que nerveux: je deviens irritable et ne peut plus me contrôler
(en fait je ne souffre pas tant que ça d'hypoglycémie, mais
quelque chose se passe sur le plan nerveux qui a les même effets
q'un stress aigü).
Il est diffiçille de déjouer les pieges posés
par les lobbys du sucre: le sucre est en effet glissé dans les aliments
sous forme cachée (par exemple les produits sans sucre ajouté,
en ont quand même: ils sont parfois issue de sirops!!! on les fabrique
à partir de sirop, et là seulement on "n'ajoute pas" de sucre!!!):
éviter le sucre signifie donc: pas de conserves (genre boites
de petits pois; pas de charcuteries (le sucre sert de colorant), pas de
miel du commerce, pas de biscuits industriels, pas de pain ordinaire (sucré
pour devenir moelleux), pas de pillules homéopatiques (ne contiennent
que du sucre, avec une molécule ou deux de principe actif!)
Ainsi je ne connais pas l'hypoglycémie, ne comptant que sur
mon glucose sanguin!
Le fait que l'hypoglycémie n'existe pas chez moi
est démontré par l'expérience (50 km de skiff sans
manger ou bien 50 km de kayak plus 15 en skiff, ou 10h de marche en montagne
non stop a jeun car je ne mange que le soir de la veille... etc).
"
réaction d'un internaute
Daniel ANDRE <danane@free.fr>
Médicalement
ne prouve rien ! Si tu as de bonnes surrénales, tu peux avoir
des chutes glycémiques qui passent totalement inaperçues,
la compensation via les surrénales, qui pompent dans les reserves
de glycogène du foie, compensent au fur et à mesure,
jusqu'au jour où ça fatigue ! Certainement tu stockes
très bien le glycogène. (C'est le nickel qui est le catalyseur
de ce stockage). Il faut noter que le travail physique
régulier permet une absorption maximale du glucose. Donc pas
d'hypoglycémie réactionnelle."
Les effets bénéfiques de la privation de
sucre devraient se faire sentir au bout de six mois chez une personne qui
désirerait se sevrer de "cette drogue". Je pense que "le régime
sans sucre" me permet de descendre le régime cardiaque en début
de journée tout en menant une activité physique intense immédiatement
après le lever, puisque je peux avoir du glucose sanguin disponible
alors que je suis à jeun (pas de digestion intestinale à
accomplir).
Mon neveu est dans le même cas que moi: il doit
éviter le sucre car celui-ci, outre les symptômes observés
chez moi, lui bloque son sytème immunitaire: un écart sucré
se paye en effet sytématiquement par: de l'héliophobie (crise
de kératite), une angine ou une grippe. Mon neveu fait preuve de
calme et d'une grande endurance hors du commun pour les enfants de son
age. Avec une alimentattion sucrée, c'est un gosse grincheux, agressif,
instisfait et rongé par des désirs injustifiés, revendicatif,
à claquer (votre gamin est t'il comme cela??? essayez donc le régime!)
J'ai pris cette habitude de jeun à la réunion,
car je grimpais au sommet de l'île en 3h, en partant 10mn après
m'être levé, quand coq chanté, et ne devais pas être
géné par une digestion, le sentier étant raide dés
la case, et le rythme d'ascension très rapide pour ne pas avoir
froid, par une température de 4 à 8°.
Je ne consomme pas non plus également le café,
le thé, l'alcool.